Les vallées sacrées.

Avril 2011.


Nous prenons la direction des vallées sacrées.

La campagne est superbe avec ses maisons en pisée couvertes de tuiles romaines.

Nous découvrons les fameuses terrasses de Moray, construites par les Incas pour réaliser des essais de culture avec différentes expositions.


Les enfants sont ravis de pouvoir se défouler à leur aise.

Mais le lendemain, dur dur les courbatures!





L'endroit est vraiment superbe, d'autant plus que nous sommes seuls.









Nous assistons à la messe dans la vieille et belle église de Maras.






Au milieu de la messe, Matthieu se rend compte qu'il est assis au milieu des femmes, les hommes se tenant de l'autre côté de la nef.

Il déménage discrètement, sous les yeux amusés de quelques vieilles bigotes.






Nous partons à la découverte des salines de Maras.


Comme c'est l'heure du déjeuner, nous préparons de bons hot-dog que nous dégustons avec une magnifique vue sur les salines.




Plus de 4000 bassins sont exploités depuis les Incas afin de récolter le précieux sel: l'endroit est incroyable!


Une source d'eau salée, située à proximité, alimente le site.

Les garçons, qui ont mis leurs bottes pour l'occasion, se promènent dans tous les sens.







Nous nous arrêtons pour regarder un homme qui fabrique des briques en pisée au bord de la route.

De l'eau, de la terre et une poignée d'herbe.

Il fabrique 250 briques en une journée.







Pour visiter la forteresse d'Ollantaytambo, il faut acheter le fameux "boleto turistico" donnant accès à tous les sites.

C'est une arnaque générale organisée par la mairie de Cuzco pour plumer les touristes.

Bien décidés à ne pas participer à cette mascarade, nous visitons seulement la ville située en contrebas: mais cela vaut le détour!

Nous déambulons au milieu de ces murs Incas, aux portes trapézoïdales inclinées, si typiques.






Beaucoup de hameaux ne sont reliés au reste du monde que par un câble et une nacelle.

Il ne faut pas grand chose aux enfants pour bien s'amuser!





En nous rendant à Pisac en fin de journée, nous réalisons que la billeterie ferme à 17 heures, et tous les employés sont partis.

Nous échappons donc au couperet de l'indispensable boleto.

Nous sommes seuls sur le site à la tombée du jour: c'est génial.

Au milieu de la visite un gardien nous interpelle: "Vous avez vos billets?"

Pas d'embrouille, je t'embrouille, et notre gardien se transforme en guide privé.

C'est ce qu'on appelle le tourisme équitable.

Nous ne voulons pas quitter la région sans goûter au cochon d'Inde farci, spécialité locale.

Un four gigantesque occupe le milieu du restaurant.

Mais que tante Maïlys se rassure, nous sommes bien décidés à ne pas renouveler l'expérience...

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