La route de la mort.

Mars 2011.


Nous laissons les hauts plateaux et nous dirigeons vers les vallées amazoniennes, et notre Agathe a l'air minuscule à côté de ces orties géantes.

Nous voyons nos premiers avocatiers.



Ces drôles de cerises que nous trouvons sur le bord de la route sont en fait des grains de café.

Les enfants en ramassent et s'imaginent déjà en train de préparer un bon café maison pour Matthieu!

Nous trainons tellement en chemin, que nous arrivons sur la fameuse route de la mort en fin de journée.

Nous sommes rapidement pris par la nuit et la pluie se met à tomber, mais nous ne pouvons pas nous arrêter.

Frisson garanti...

Comme nous n'avons rien vu du spectacle, Matthieu décide de la reprendre le lendemain.

Pour que le chauffeur se trouvant côté précipice puisse voir sa roue, on y roule à gauche.





Les grands montent sur le toit pour mieux profiter du spectacle.



Les croix qui jalonnent le chemin sont les témoins des centaines d'accidents qu'a connus cette route, comme ce camion tombé dans le précipice avec 100 personnes à l'arrière.

Mais une nouvelle route absorbe aujourd'hui la majorité du traffic, et la route de la mort sert surtout de terrain de jeu aux amateurs de sensations fortes.



La nature est superbe.





Et Charlotte canarde à n'en plus finir.





Le haut de la vallée est très escarpé.





De nombreux torrents tombent sur la route et les enfants prennent une bonne douche!








Quelle aventure !







Les enfants l'auraient bien prise une troisième fois, mais la route nous attend.







Et c'est en direction du fameux lac Titicaca que nous nous dirigeons.



Nous faisons un détour par Tiwanacu.







Ce site pré-inca aurait inspiré Hergé pour dessiner son temple du soleil.







Les ruines, vieilles de plus de 700 ans, sont très bien conservées.



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