Kom Ombo.

Mars 2012.




La voiture n'arrivant toujours pas, nous partons en croisière à bord d'une superbe felouque.






Nous quittons Assouan toutes voiles dehors.










La vie à bord est paisible, et un peu de farniente ne fait pas de mal !



Notre capitaine est un fameux cuisinier et les repas à bord sont excellents.




En fin de journée, nous nous arrêtons sur une île au milieu du Nil.

Le mousse monte en haut du mat pour lacer la voile.

Il est courageux car le mat est à plus de 20 mètres de haut !





Pour la nuit, ils installent une toile qui nous protège du vent et nous dormons comme des loirs !










Nous arrivons dans la matinée en vue du temple de Kom Ombo.

Nous accostons à quelques centaines de mètres de l'entrée.







Ce temple a malheureusement servi de carrière de pierres pendant longtemps et a beaucoup souffert.




Mais les bas-reliefs sont vraiment d'une qualité incroyable.




Des femmes de tous ages font des offrandes à Sobek, le dieu crocodile.

Y a pas à dire, le soutien-gorge est une belle invention !



Les enfants sont vraiment fascinés par la finesse des bas-reliefs.





Ils organisent des jeux et s'amusent à reproduire des scènes.






Encore un temple magnifique.

Les Egyptiens de l'époque savaient travailler.






Nous reprenons la route d'Assouan, cette fois à contre-courant mais avec le vent dans le dos.

Nous doublons quelques sandals, ces bateaux de croisière à mi-chemin entre la felouque et le paquebot.








Les enfants se régalent de cannes à sucre apportées par le capitaine.

Le capitaine et son second sont vraiment très sympa et le bateau est très bien tenu.





Les garçons tiennent la barre un bon moment.

Nous manquons passer à la baille, mais le capitaine reste zen.

Il faut dire que le bateau n'est pas très équilibré et que tenir la barre est une épreuve de force !



Les enfants ne manquent pas d'imagination !










Nous arrivons à Assouan au coucher du soleil.

Quelle expérience fantastique !

Page suivante         Carnet de route