Etosha 2.

Novembre 2011.









Nous tombons sur une troupe d'éléphants. Génial !



Le spectacle de ces pachydermes est toujours aussi beau.




Ce bébé éléphant est un vrai clown et nous amuse beaucoup.






Le bain de boue achevé, la petite troupe s'éloigne tranquillement.

Ca ferait une belle carte postale !






En fin de journée, nous voyons notre première hyène: l'excitation est à son comble !

Enfin un prédateur !






Elle quitte la savane et vient se prélasser dans une flaque d'eau à quelques mètres de la voiture.

Quelle sale tête tout de même !





Quelques centaines de mètres plus loin, une hyène veille sur le cadavre d'un zèbre fraîchement tué.

Contrairement aux autres prédateurs, la hyène n'attaque pas au cou, mais étripe ses proies en leur ouvrant le bas-ventre.

Brrr !


Chaque campsite possède un point d'eau qui nous permet d'observer les animaux une fois la nuit tombée.

Nous regardons un magnifique rhinocéros en train de faire ses ablutions.







Les prédateurs étant plus actifs en début et en fin de journée, nous nous levons à l'aube.

Le rugissement d'un lion nous fait sortir de nos lits à la vitesse d'un éclair, malgré l'heure plutôt matinale !







Nous passons voir ce qu'est devenu le zèbre de la veille.

Trois hyènes se battent encore un bout de colonne vertébrale, mais tout le reste a disparu !






Au détour d'un chemin, Tugdual s'écrie: "Un léopard".

Et il empoche les deux paquets de smarties promis par Matthieu au premier qui verrait ce gracieux félidé.

Nous admirons pendant un bon bout de temps trois jeunes léopards qui finissent par s'éloigner tranquillement. Fantastique !




Et un quart d'heure plus tard: un lion et une lionne.

Décidément, la chance est avec nous.

Il aura fallu attendre le troisième jour pour être récompenser dans nos efforts.

Il faut dire qu'il y a en moyenne un lion pour 20 km2, et chercher un lion c'est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin.





On est content d'être dans la voiture, car ce vieux mâle n'a pas l'air commode.

Il s'éloigne tranquillement avec sa femelle sur un magnifique fond de savane.

C'est grandiose !







Nous faisons notre pause déjeuner dans le camp de Namutoni.

Ce camp est aménagé dans un ancien fort construit par les Allemands à la fin du XIXème siècle.






Nous rencontrons Jean-Luc et Aliza, deux Français en vadrouille depuis un an.

Ils sont descendus de France par la Syrie, l'Egypte et la côte est, c'est la route que nous comptons prendre pour remonter.







Nous passons un bon moment à discuter ensemble.






Nous reprenons la route en fin d'après-midi pour un dernier safari avant le coucher du soleil.

Nous passons près du grand lac salé qui occupe tout le milieu du parc.

Et finalement, Matthieu voit deux lionnes tapies dans un trou à l'affût d'un troupeau de zèbre.

Malheureusement les zèbres passent un peu trop loin, et une fois dans le vent détectent la présence des lionnes. Dommage !

Ces félins en chasse sont impressionnants.

Mais l'heure du départ a sonné, et nous ramenons Boule et Max à Tsumeb d'où ils prennent un bus pour Windhoek.







Ces quinze jours sont passés tellement vite.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin !

Un grand merci à tous les deux d'être venus partager nos aventures avec cette bonne humeur qui vous caractérise.

Même si on a un peu plus de place dans la voiture, vous allez nous manquer !

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