Cap Cross.

Novembre 2011.


Nous voilà sous les tropiques.







Nous arrivons à Walvis Bay en fin de journée, et nous avons le droit à un coucher de soleil magnifique au milieu d'une envolée de flamants roses.








Les journées sont longues pour Béatrix qui s'endort avant le dîner !

Nous installons notre camp sur une immense plage désertique.








Au petit matin une petite otarie accoste sur la plage à quelques mètres de notre voiture.






Mais un chacal, tapi à proximité, lui saute dessus en une fraction de seconde et en fait son déjeuner.

Rude loi de la nature, mais les chacals de la côte dépendent exclusivement de cette nourriture.








Nous prenons notre petit-déjeuner les pieds dans le sable.


Après une semaine intense nous soufflons un peu.

Les enfants disputent avec Max une partie mémorable de Monopoly (celui qu'Elise leur avait donné en partant), avant de s'adonner aux joies des châteaux de sable.






Bertrand et Corine, des Suisses, et Pierre et Michèle, des Français, s'arrêtent à notre niveau et nous tapons la cosette pendant un bon moment.

Ils se baladent en Namibie pendant trois semaines à bord de 4x4 de location.

Merci pour la bouteille de vin et les haricots séchés !

Un peu plus loin sur la côte, nous trouvons des moules. Pas question de laisser passer une si belle occasion.



Nous faisons un festin de moules incroyable, à 9 dans le sas !










A Henties Bay, nous testons un concept intéressant: le restaurant-car-wash.







Vous déjeunez pendant que votre véhicule se fait nettoyer de fond en comble.

Poisson et calamar: le repas est excellent ce qui ne gâche rien au plaisir !







Nous arrivons au Cap Cross, qui doit son nom à la croix élevée en 1485 par Diego Cao, un marin portugais.

Mais l'endroit est surtout connu pour son incroyable colonie d'otaries à fourrure, entre 100 000 et 200 000 individus en fonction des saisons.

Il y en a autant dans l'eau que sur la côte.






Le spectacle est d'autant plus impressionnant que nous sommes au milieu de la saison de mise à bas.

Il y a des bébés otaries partout !







Mais si le spectacle ne manque pas de piquant, l'odeur est assez nauséabonde.








Béatrix, qui ne manque pas une occasion de nous faire rigoler, essaye les lunettes de Boule.

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