Quito.

Avril 2011.



Nous prenons une journée pour visiter Quito.





Mais il se met à pleuvoir des trombes, et nous devons nous équiper de parapluies, ce qui amuse beaucoup les enfants.


Nous voulons visiter le couvent San Francisco, le plus grand des Amériques, mais celui-ci est malheureusement fermé.

La marchande de bondieuseries profite de la faible activité pour faire un petit somme!









Octavie ne peut pas voir un pigeon sans lui courir après.

Matthieu décide de lancer une campagne de pub pour promouvoir notre site et dépense 1 USD pour un magnifique autocollant.

"C'est pour satisfaire les curieux", nous explique-t-il.

Le plus drôle c'est que le lendemain nous recevons un email d'un automobiliste qui était allé voir notre site!






Nous avons beaucoup de mal à trouver un bivouac aux environs de Quito.

Nous tournons 4 heures, manquons de partir à la renverse dans un chemin de terre, et finissons par trouver refuge dans un parc naturel.

Heureusement ce genre de situation ne nous arrive pas souvent.








Le matin, nous nous réveillons dans un décor magnifique.

Avec cette belle herbe verte on se croirait dans les Alpes.







Au détail près que dans les Alpes, les poteaux de clôture ne prennent pas racine...


Nous nous arrêtons à la Mitad del Mundo, petite bourgade située au nord de Quito sur la ligne de l'équateur.

Un pied dans l'hémisphère nord et l'autre dans l'hémisphère sud!










Le lieu est dédié, entre autres, à l'expédition scientifique menée par les Français en 1736 sous la direction de Charles Marie de la Condamine.

Ils réussirent à prouver que la terre est aplatie aux pôles, et leurs travaux donnèrent naissance au système métrique.

Dans le parc, il y a une immense balançoire, mais Matthieu ne fait plus le poids face aux enfants.

Il lui faut l'aide de Béatrix pour rétablir l'équilibre.







Dans une boutique de souvenir, les enfants essayent des panamas, qui sont fabriqués en Equateur comme leur nom ne l'indique pas.


L'Equateur, c'est aussi le pays des fleurs.

La région de Quito est couverte d'immenses serres où poussent des oeillets et des roses qui finiront chez les fleuristes parisiens.




Le marché d'Otavalo est connu comme étant l'un des plus typiques et des plus grands du pays.

Nous y achetons des hamacs pour toute la famille.



Mais nous accélérons le mouvement vers le nord car nous sommes en retard sur le planning.

Du coup, les enfants travaillent dans la voiture.

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