Nazca.

Avril 2011.








La côte péruvienne est désertique, mais recouverte en permanence d'une brume légère.

Des rivières descendant des Andes irriguent de vastes rizières.







Ce bel échassier prend son envol à quelques mètres de nous.

En passant à proximité d'un port de pêche, nous décidons d'aller y jeter un coup d'oeil.

Le port est spécialisé dans la pêche aux poulpes, qui après congélation seront envoyés en Europe.






La visite est super intéressante, mais décidément Béatrix n'aime pas l'odeur du poisson...







Dans cette vallée, point de riz, mais d'immenses champs d'oliviers.


Nous nous arrêtons à l'une des multiples échoppes du bord de route.

Nous achetons de l'huile, des olives et un pot de miel d'oliviers.








Les oliviers ne sont pas très bien taillés, et Matthieu nous fait un petit remake de "Où est Charlie?".


Les bivouacs de bord de mer sont magnifiques, mais les nuits un peu difficiles quand notre matelas est crevé!





Où que nous soyons, les enfants se trouvent de mutliples activités et ne s'embêtent jamais!





Au programme: escalade, danse, recherche d'or et de diamants et construction de villes.










Avant d'arriver à Nazca, nous visitons la nécropole de Chauchilla, datant de la période pré-inca.


Les tissus et les cheveux sont admirablement conservés grâce au climat désertique de la région: c'est vraiment impressionnant!




Décidément, les hippies et autres rastas sont complètement has-been.

C'était la mode il y a 700 ans...







A Nazca, l'ambiance est plutôt décontractée!







Nous nous rendons à l'aéroport dans l'espoir de survoler les fameuses lignes de Nazca, mais en un an les prix ont triplé.

On nous explique que deux tiers des avions ont été déclassés suite à la mise en place de nouvelles règles de sécurité.

Nous finissons par nous rabattre vers une tour permettant de voir quelques figures.


Mais le spectacle est plus que décevant.

A côté de nous, une touriste anglaise dit à son amie: "Tu te rends compte, c'est formidable d'être ici!".



Nous, nous décidons de partir au plus vite, et nous hésitons même une seconde à quitter ce pays où les touristes sont pris pour des vaches à lait.

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