La Patagonie.

Novembre 2010.


En Patagonie, le paysage change complètement. Les prairies verdoyantes laissent la place à des buissons épineux.

Afin d'éviter la propagation de certaines maladies, il est inderdit de transporter vers le sud des denrées périssables.

Nous passons par plusieurs péages où les véhicules sont fouillés.






Nous rencontrons dans une station service, nos premiers voyageurs au long court.

Vincent et Maryline voyagent depuis 2 ans en Defender comme il se doit. Ils nous donnent des informations utiles sur Valdès.







Faire son plein est un plaisir en Argentine, même avec un réservoir de 180 litres. Le diesel coûte environ 0,6 euros.

Nous en profitons pour faire le plein d'eau pour la première fois, et Matthieu décrouvre quelques fuites...








Un piaf en profite pour s'installer sous notre galerie.






Dans ce pays fort peu peuplé, où on parcourt plusieurs centaines de kilomètres sans voir une maison, nous pensions pouvoir enfin bivouaquer librement. Mais les clôtures sont toujours omniprésentes.

Nous achetons une belle grille et nous avons une pensée émue pour Grand-Père en dégustant notre premier asado.

La viande est vraiment savoureuse, et sa réputation n'est pas usurpée.





Quand il fait beau, il est plus facile de trouver des volontaires pour la vaisselle...





Matthieu termine quelques installations qui nous faciliterons la vie: mise en place de la boite à fusibles et câblage des pompes à eau.





Pendant ce temps, Charlotte continue de faire l'école aux enfants. Tout à coup, Tugdual saute de son siège en s'écriant: "Papa, il y a une araignée énorme sur mon sac!"

Et Matthieu de répondre: "C'est rien, c'est rien"

"Ou merde..."





Et nous voyons notre première mygale, grosse comme une main!

L'école est encore perturbée par un petit cochon d'Inde qui sort de son terrier, et par un rapace à l'affût qui cherche à l'attraper.







Les routes vers le sud sont monotones et interminables, égayées tous les quelques kilomètres par des oratoires pas toujours de très bon goût.





Ici un oratoire dédié au Gauchito, un pseudo saint local vénéré par les routiers.





La monotonie de la route est également rompue par le dépannage d'une vieille américaine, propriété d'un Argentin trés sympathique.

Page suivante         Carnet de route